CONTRÔLE ROUTIER AU BÉNIN

La Direction générale de la Police républicaine et la Direction du Centre National de Sécurité Routière (CNSR) ont tenu une séance de sensibilisation le mardi 06 février 2024 dernier, sur le non-respect des prescriptions du code de la route. Les points saillants de cette séance incluaient le respect des limitations de vitesse, le port du casque pour les motocyclistes et les passagers, l’utilisation des dispositifs de communication au guidon ou au volant, le non-respect des couloirs de circulation et les défauts de plaque d’immatriculation.

La Police Républicaine annonce une répression implacable

La Direction générale de la Police républicaine et la Direction du Centre National de Sécurité Routière (CNSR) ont tenu une séance de sensibilisation le mardi 06 février 2024 dernier, sur le non-respect des prescriptions du code de la route. Les points saillants de cette séance incluaient le respect des limitations de vitesse, le port du casque pour les motocyclistes et les passagers, l’utilisation des dispositifs de communication au guidon ou au volant, le non-respect des couloirs de circulation et les défauts de plaque d’immatriculation.

L’objectif poursuivi par le projet de contrôle, selon la police républicaine, est d’attirer l’attention sur les mesures désormais prises pour lutter contre l’incivisme croissant sur les axes routiers. Cette initiative suscite des interrogations quant à son impact sur la circulation routière et sur la vie des usagers de la ville de Parakou.

En effet, dans cette localité, la circulation anarchique et l’excès de vitesse constituent des dangers pour la population. Certains motocyclistes sans aucune notion de conduite conduisent à vive allure. De plus, le non-port du casque par les usagers des taxi-motos, communément appelés Zémidjans, demeure un défi majeur. La conduite à Parakou est caractérisée par la turbulence des usagers routiers à travers le non-respect du port de casque.

Il est important de noter que le coût élevé des casques moto constitue un obstacle à leur généralisation, nécessitant une révision gouvernementale des prix afin de permettre à toute la population de s’en procurer et de circuler en conformité avec les normes de sécurité routière.